Arrete toi le temps d un strip tease...tu seras pas dessus [libre]

Alinoé s'était lancé inconsciemment un défi, celui, comme l'avait dit Tsuki, de se laisser aller, de lâcher les reines qu'il tenait généralement trop courtes. Elle lui demandait de la laisser faire, alors il la laisserait, et quel que soit ce que voudrait Tsuki, il n'irait pas à son encontre et lui intimerait même d'amplifier ses envies.
Tsuki suscitait le désir de Alinoé, le faisait chanceler (le désir) et onduler avec des outils qu'elle menait à la perfection comme ça voix, ses mains et tout le reste de son corps, chaque parcelle de peau appelant au désir de la personne qui se trouve en face d'elle, et cela devait être un cas général pour toutes personnes à ses côtés.
Les multiples frissons qui parcouraient Alinoé avaient tendance à lui donner une chair de poule qui ne le quittait plus. Le léger vent n'arrangeait rien, mais ce fut le contact direct avec la peau de Tsuki, son corps contre le sien qui aggrava ce phénomène lorsqu'elle l'attira à lui pour les mener au centre de la clairière. De nouveau ils furent l'objet de l'espionnage de cette lune jalouse et de ces étoiles envieuses. Alinoé risqua un regard vers ces astres et sourit avant d'aller chercher les lèvres de Tsuki. Cette dernière avait une manière de caresser Alinoé qui devait être à la base des frissons maintenant continus qu'il ressentait plus profondément encore.
Ce fut une fois au milieu de la clairière que Alinoé se trouva limité dans ses actions. Toujours prisonnier de ce jeu qu'il s'était imposé de laisser le volant à Tsuki, il ne pouvait pas faire grand chose pour faire avancer les choses; et puis pourquoi faudrait-il les faire avancer? Etaient-ils obligés d'aller vite sans prendre le temps de se demander pourquoi? Certes, Alinoé ne se demandait pas jusqu'à présent pourquoi, mais elle n'était pas une cliente, elle était une femme à part entière et non pas une pause café dans une longue journée au bureau, elle devait avoir le droit à ce que les autres femmes n'avaient pas le droit en tant qu'élément du bureau: la Passion, sa Présence et sa Fougue; il ne pouvait pas se permettre de bâcler cette affaire comme il aurait pu, à la limite, le faire dans une chambre avec signature au bas d'une feuille. Ce serait la première femme à avoir le véritable Alinoé et pas une figure de substitution.
Alinoé redoubla d'intensité son baiser en cours, ne sachant même pas où il allait chercher cette fougue. Il tenait Tsuki par les épaules et, toujours bloqué par son pari, son jeu, il se contentait de faire aller ses baisers sur la mâchoire de Tsuki, son menton, sa gorge; de même, ses mains glissaient sur les bras de Tsuki, débordant à l'occasion sur les omoplates de son amante.

-Si tu savais à quel point je me retiens de te donner du plaisir...

C'était peut-être bien la solution pour qu'il arrête de se torturer. Il fallait juste qu'il envisage ce jeu comme le désir de Tsuki, comme une envie à contenter de la même manière que l'on contenterait une fille qui voudrait de la chantilly voire du nutella en entrée...

ce fut à ce moment que Alinoé remarqua les yeux disparates de Tsuki, à la lumière de la lune qui voulait surement faire la lumière sur un "défaut" de Tsuki qui la rendait encore plus désirable aux yeux de Alinoé. L'un des deux était gris clair tandis que l'autre était beige (si je ne me trompe pas ^^). Les yeux d'Alinoé restèrent plongés dedans pendant un moment, intérompant même le baiser, un sourire tendre et amusé peint sur ses lèvres. Les petites particularités faisiaent les grandes personnes... Alinoé partit alors à nouveau au safari, s'introduisant dans des terres humides à la recherche de la langue de Tsuki.

Invité

Tsuki était au plus haut de son excitation. Elinoé était plus que desirable, et ses baisers repeté n arrangeaient en rien la difficulté pour Tsuki de retenir ses ardeurs. Néanmoins, ellle passa au niveau superieur et introduit sa main dans le pantalon de Alinoé, caressant son memebre durcit avec douceur dabord, puis, tendit qu elle rendait ses baisers avec de plus en plus de passion, elle accelerait la cadence de ses mains. Elle descendit ensuite, se mettant a genou face a Alinoé et sortit le sexe de celui-ci. Tsuki lehca du bout de la langue le gland de Alinoé, puis, petit a petit, decri de petit cercle autour de celui ci avec son piercing. Tsuki prenait son temps, desireuse de faire monter le plaisir tout gentiment, car apres tout, plus on attends, plus c est bon.

- Mmmmm...

Tsuki caressait avec douceur, tout en continuant son petit jeu de langue, les testcules de son amant et de l autre main, carressait les fesses de celui.ci.

- Je pense que là...tu ne pourras resister...

Elle entreprit de petit va et viens avec la verge de Alinoé entre ses lèvres pulpeuses, et parfois accelerait un peu la cadence, avant de ralentir a nouveau et ainsi de suite.

Effectivement, Une glace au soleil par une canicule de 40 degré ne fondrait pas plus vite qu'Alinoé en ce moment. La main de Tsuki parcourait le membre de l'hôte avec passion et délicatesse, juste pour exciter Alinoé. Lui ne pouvait que l'embrasser. Ses mains courait sur le crâne de Tsuki, se délectant de la sensation de ses cheveux sous ses doigts. Ses mains descendaient maintenant sur ses hanches. Elle se mit alors à descendre vers le sol jusqu'à se mettre à genoux devant Alinoé et devant la virilité de ce dernier. Après l'avoir fait sortir du jean d'Alinoé qu'il aimait à porter, elle entreprit d'en lécher le gland, jouant de ce piercing qu'il avait aimé à sentir lors de leurs baisers à répétition. Alinoé ne pouvait qu'atteindre les cheveux de Tsuki. cette position l'embarrassait un peu, lui debout et elle accroupie; il jouait le dominateur qu'il n'aimait pas faire.
Le plaisir que lui donnait Tsuki lui faisait pousser des soupirs hachés. Son regard descendit vers Tsuki et, tout en lui caressant les cheveux d'une main détacha le soutien gorge de Tsuki.

-Je n'ai pas envie de résister...Mais montre plutôt la merveille que tu cache là dessous...

Et tandis que Tsuki entourait le sexe d'Alinoé de ses lèvres, les faisant glisser doucement du gland vers la base de la verge, la douceur des lèvres pulpeuses de Tsuki avaient fait atteindre le summum de l'excitation de Alinoé. Le plaisir suivait à pas plus lent mais aussi surement que son désir était déjà au plus haut.Alinoé enleva sa chemise mais, ne pouvant se résigner à rester inactif, Alinoé déposa de côté le morceau de tissus préalablement enlevé à Tsuki et caressa avec le plus de chaleur possible malgré ses mains froides la poitrine de Tsuki. De là où il était, il n'avait pas vue superbe, mais ce qu'il en voyait lui suffisait amplement, du moins pour le moment. Une de ses mains ne bougeait pas des cheveux de Tsuki, suivant les ondulations des soyeux brins et l'autre se rassasiait des formes de Tsuki ainsi que du téton qu'il faisait tourner entre ses doigts.

Mais il restait toujours embarrassé dans cette position; alors que Tsuki allait un peu plus loin sur la longueur de la virilité de Alinoé, ce dernier la fit se relever pour qu'elle vienne l'embrasser. Sa main restait sur le sein de Tsuki et les lèvres d'Alinoé quittèrent celles de Tsuki pour aller caresser son cou, léchant son décolleté au passage. Il descendit petit à petit, lentement jusqu'à atteindre le téton délaissé par sa main. Il joua alors avec de sa langue, une main malaxant gentiment l'autre sein et l'autre sur la colonne vertébrale de Tsuki.

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Peut-etre ne le sentait-il pas, mais la peau de Tsuki était couverte de frissons. Elle avait l impression d'etre entrain de rever, de planer, comme lorsque l on est entre reve et realité. Quand il embrassa sa poitrine, Tsuki ne put s empecher d emettre un petit gemissement, voulant inciter Alinoé a continuer. Elle adorait cela, être embrassée partout, sentir les levres de l'amant parcourir sa peau bouillonante malgré la fraicheur de la nuit.
La lune éclairait la scène , jouant de sa lumière sur nos deux protagonistes, qui etait somme toute, comme des marionnettes animée par la même chose: le desir.

Tsuki se mit glisser ses doigts dans les cheveux de Alinoé, jouant avec ses meches si douces. Elle s'accroupit a nouveau, pour être à hauteur de visage de Alinoé afin de pouvoir a nouveau se laisser emporter par le plaisir d'un long et passioné baiser.

-Alinoé...

Elle dit cela comme une sorte de priere, comme pour se rassurer, se dire que ce n'est pas un rêve. Que oui, Alinoé existait et qu'il n'etait pas le fruit d une immagination debordante emplie de plaisir et de desir pour cet etre qu'elle venait a peine de rencontrer.

Alinoé, pour atteindre le sein convoité qu'il avait fini par attraper dans sa filets, avait du se baisser et c'était jambes pliées et dos arqué qu'il se délectait du sein de Tsuki; il faisait tourner sa langue autour du téton, le suçant de temps en temps pour améliorer le rendu sur Tsuki. Son autre sein recevait un traitement similaire qui consistait à stimuler la pointe dressée de désir du sein de Tsuki. Le gémissement que poussa Tsuki provoqua chez Alinoé une sensation bizarre, comme si son estomac venait de faire un bond dans son ventre; quelle agréable sensation que ce fut cet instant éphémère, certes moins euphorique que la fellation qu'elle venait d'achever, mais d'une autre sorte de plaisir, moins intense et pourtant très désirable.

Alinoé ne put dire si ce traitement lassa rapidement Tsuki ou si elle aspirait juste à un nouveau baiser, ou même si elle voulait se moquer de lui en l'imitant, mais quoi que se soit, quelle qu'en soit la raison, elle alla chercher les lèvres de Alinoé, s'accroupissant de la même anière qu'Alinoé devant elle. Durant leur baiser, les deux amants se relevèrent lentement, comme tirés par une force supérieure à l'attraction terrestre comme la lune par exemple, lune qui devait vouloir profiter de ce spectacle à elle seule. leur baiser fut coupé une seconde, brève seconde que Alinoé ne remarqua que par le son qu'avait produit la voix suave et attirante de Tsuki et parce qu'il lui avait semblé perdre le piercing de Tsuki du contact de sa langue. Le seul mmot que Alinoé avait entendu, c'était d'ailleurs le seul son qui sortit de la bouche de Tsuki à ce moment:

-Alinoé...
-Présent et là pour toi... Ah non, on avait dit que c'était le contraire...

leurs deux corps étaient très proches, l'un contre l'autre, lèvres contre lèvres, torse contre poitrine; l'osmose de ces deux personnes, sérrés comme deux atomes, se ressentait dans la passion des baisers et la chaleur des caresses. Chacun profitait de celles de l'autre, chacun frissonant sous les doigts de son amant. Alinoé tout comme Tsuki avaient la chair de poules de tant de caresses, qu'elles soient tactiles ou bucales, qui parcouraient les corps par la fraicheur de la nuit qui les enveloppaient.
Par une un heureux hasard, la main de Alinoé commençait à descendre vers les fesses de tsuki et après une courte alte sur ces vallées rapidement tâtées, il passa cette même main dans le short de Tsuki, jouant avec le nouveau bout de tissus qui le genait dans sa progression (culotte, string?). N'osant pas aller plus loin, Alinoé se contenta de caresser les fesses rebondies de Tsuki avant d'aller frotter sa main contre le sexe de Tsuki, doucement comme elle-même l'avait fait plus tôt avec le sien. Alinoé ne passa pas cette barrière entre ses doigts et les lèvres intimes de son amante.

Invité

-Présent et là pour toi... Ah non, on avait dit que c'était le contraire...

-Oui...le contraire...

Quand il enfila sa main dans son short, caressant son intimité a travers son shorty de dentelle noirs, Tsuki emit un petit gemissement de plaisir. Elle se remit a embrasser avec plus de passion son amant, melant sa langue a celle de Alinoé dans une danse effrenée. Elle gemissait tout en l embrassant, pressant son corps contre celui d'Alinoé.

-Prends moi Alinoé...je veux etre rien que pour toi et en exclusivité...Ta petite poupée de porcelaine...

Sur ces mots, elle s ecarta de lui et, faisant onduler son corps de façon hypnotisante, Faisant glisser ses doigts dans son short qu'elle decroche, le fait descendre le long de ses jambes, lentement, savourant la caresse que le tissu produit sur sa peau satinée.

-je veux etre toute a toi...

Jetant son short au pied de Alinoé, Tsuki entam d'enlever son shorty, avant de se raviser et de monter ses mains le long de son ventre, caressant sa peau de ses longs doigts fins. Elle passe ensuite se mains dans ses cheveux, toujours de la maniere la plus sensuelle, comme le ferait une grande reine, sous les rayons de la lune la rendant des plus etranges, comme si elle n etait qu une projection d un fantasme quelconque.

Les gémissements de Tsuki emplirent Alinoé d'une profonde plénitude. C'était un son qui le berçait dans ses gestes, qui l'incitait à continuer. cette situation ne dura pas longtemps, mais Alinoé calqua les mouvements de ses doigts sur les gémissements de Tsuki, comme rythmé par un refrain qu'il adorait.

-Prends moi Alinoé...je veux être rien que pour toi en en exclusivité... Ta petite poupée de porcelaine...
-Tu peux oublier ta porcelaine, "petite poupée", ta peau est bien plus agréable...répondit rapidement Alinoé en caressant du dos de sa main restante le bras de Tsuki comme pour appuyer ses dires.

Cet instant fut malheureusement éphémère puisque Tsuki se recula de lui. Leur jeu risquait de durer un petit moment si à chaque fois que l'un des des amants avançait vers l'autre, cet autre se désistait pour faire autre chose. Ce petit jeu faisait durer le plaisir que tous deux éprouvaient, les faisant patienter jusqu'au paroxysme.

Alinoé eut la réponse à son interrogation "Que voulait-elle faire?" lorsque, tout en ondulant et en se reculant,elle décrocha son short de ses hanches, le faisant lentement glisser sur ses jambes blanches si désirables.

-Je veux être toute à toi...
-Je ne veux même pas voir les conditions, j'accepte!

Alinoé reçut le short de Tsuki. Il ne pouvait pas détacher son regard du corps ondulant de Tsuki tel une marée haute qui ne cherche qu'à aller toujours plus loin sur la côté. Coincidence, les marées étaient provoquées par la Lune.
C'est alors sans cesser de regarder Tsuki que Alioné enleva son jean, du plus sensuellement qu'il le pouvait, simplement pour agayer le plaisir de Tsuki comme elle-même le faisait avec lui. Bien sur, il avait envoyé ses chaussures voler d'un coup de talon plus loin.
Tous deux se trouvaient dans les plus simples apparâts, un bout de tissus cachant à chacun leurs intimités respectives, bien que l'on devinât aisément celui de Alinoé sous son boxeur (pour enlever son pantalon, il avait dû ranger son sexe).

Alinoé l'avait déjà remarqué, mais c'était dans ces moments là, lorqu'elle faisait onduler avec tant de volupté son corps, ses hanches, ses jambes qu'elle était le plus désirable pour lui.
C'est donc à chaque mouvement de Tsuki que Alinoé se rapprochait d'elle, lentement, histoire de profiter pleinement d'un tel spectacle; chaque pas lui semblait lourd à poser sur le sol, bander ses muscles pour soulever sa jambe lui demandait un grand effort, comme si toute son attention avait été captée par Tsuki, par sa danse hypnotique, car pour Alinoé, elle avait reprise sa danse.

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