Arrete toi le temps d un strip tease...tu seras pas dessus [libre]

Invité

Il était tard, mais Tsuki n'était pas d'humeur a rester cloitrer chez elle. Aussi, elle decida d'enfiler son mini short noir et son top qui lui cachait juste juste la poitrine. Elle sortit de l'immense batisse, mit ses ecouteurs et commença son jogging. Elle couru jusqu a lâurée d'une forêt. Sans hesiter une seconde, elle s'enfonça dans les bois, sombre et inquietant, comme elle aimait.
Tsuki courait vite parfois, et ralentissait aussi quelque fois, prenant les petits chemins entre les buissons et les arbres.
Elle courait a perdre haleine desormais, et ne s'aretta qu'une fois dnas une clairiere, ou elle s ecroula, a bout de souffle.

"hhhh...hhhhh....hhhh"

Elle se releva et commença ses exercices de yoga. Tsuki était d'une souplesse exemplaire, due a son ex-metier. Elle enleva son casque, laissant la musique assez forte pour accompagner ses mouvements. Au bout d'une heure, elle arreta ses etirements de yoga et se leva pour se mettre a danser comme elle le faisait avant pour ses clients. Oui, même si elle avait quitté le monde du show biz, parfois, ça lui manquait. Elle effectuait donc une danse pour un publique immaginaire, sa peau eclairée par la Lune ayant une teinte sur realiste, pâle, comme si ellen'etait qu une simple petite poupée de porcelaine. La dolls était de retour. Elle continuait ainsi,sans se douter que quelqu un etait entrain d arriver dans la clairiere.

Bien sur, Alinoé ne devait normalement pas se trouver là: le soir était le moment le plus propices aux demandes et le rôle de l'hôte était d'être présent dans les grands moments d'affluence; mais pour Alinoé, il y avait un problème:il ne se souvenait d'aucun rendez-vous avec quelqu'un et ne chercha pas plus loin. certes, ses trous de mémoires, ses blancs momentanés lui vaudraient certainement une réprimande, mais il ne se doutait même pas qu'il posait un lapin à plusieurs personnes qui l'attendaient, que ce soient des femmes ou des hommes (il les acceptaient pour parler ou autres, il n'a pas de tendances homo ^^).
Dans sa chambre, il faisait chaud, trop chaud pour lui, ce devait être pour la prochaine fille qui aurait dû être sa cliente, mais cette châleur le poussa à aller se réfugier dans la fraicheur du soir et à l'abri des ramures de arbres du bois qu'il y avait derière.
Il se rendit donc sans sa presser dans le bois, croisant au passage la cliente qu'il aurait dû recevoir, aucun des deux ne faisant un geste vers l'autre et finalement continuer leur chemin. Il n'était pas rare dans le boi, surtout de le soir de voir des hôtes avec des femmes qui avaient cherché la fraicheur nocturne et le plaisir du plein air, aussi Alinoé leur lança-t-il un siple regard avant de passer son chemin, aucun des trois couples ne l'avaient remarqué.

Il fallut une bonne demi-heure à Alinoé pour se rendre compte qu'il s'était perdu. Il ne s'affola pas, et continua tout droit, il chercherait son chemin plus tard. Il ne put pourtant s'empêcher de penser à la fois qoù il s'était perdu de la même façon dans le bois, la dernière fois qu'il avait vu sa famille.

Une demi-heure encore de marche aléatoire et Alinoé déboucha sur une clairière. celà ne l'étonna pas, il y en avait dans chaque forêt, chaque bois, mais il s'aperçut qu'une jeune femme dansait. Il la regarda une minute environ avant de s'aperçevoir qu'il ne s'agissait pas d'une danse classique, ni orientale d'ailleurs, c'était une sorte de strip-tease qu'elle semblait répeter. La lune à peine visible au-dessus de la sime des arbres éclairait le visage et les parties de peau que l'on voyait, la rendant fragile comme une ancienne poupée en porcelaine.
La proximité avec le domaine des 1000 plaisirs fit penser à Alinoé qu'il devait s'y dérouler des séances de stip-tease et lorsqu'il voulu s'en aller pour la laisser tranquile, Alinoé se rendi compte qu'il ne savait absolument pas comment il était arrivé là, pourquoi ni quelle heure il était; il se trouva simplement là à regarder une danseuse digne d'un cabaret danser à quelques mètres devant lui. Il tenta de se rappeller, en vain, seul demeurait cette tâche blanche dans sa mémoire.
De colère, il frappa contre le tronc d'arbre le plus proche étouffant un cri de douleur et se dirigea vers cette femme, moitiè intimidé et colèrique, bien que désolé de devoir l'intérompre.

-Excusez-moi, mais dans quelle direction se trouve le manoir aux 1000 plaisirs? Je crois 'être perdu. Ah, et auriez-vous l'heure également?

Invité

Tsuki dansait et se sentait bien. Elle était tranquille. Mais tout à coup elle entendit comme un bruit sourd. se retournant, elle vit qu'un jeune homme arrivait vers elle.

-Excusez-moi, mais dans quelle direction se trouve le manoir aux 1000 plaisirs? Je crois 'être perdu. Ah, et auriez-vous l'heure également?

Elle le devisagea sans mechanceté et sans aucunes intention anfait. Tsuki ne connaissait pas ce mot: emotion. Elle pencha légèrement la tête, comme le fait une poupée et repondit d'une voix douce et calme

- Je n'ai pas de montre. Mais je pense qu'il est aproximativement 23h30. La nuit est belle et fraîche et le manoir se trouve directement a votre droite. On en voit le toit depuis ou je suis.

Tsuki parlait toujours ainsi, de façon calme et sans expression dans la voix. Elle s'assit alors dans l'herbe et continua de regarder l'arrivant.

-Je suppose que vous faites partie de ses hôtes dont j'ai entendu parler en arrivant ici ?

D'habitude, Tsuki n'était pas bavarde. Bien au contraire. Mais ce soir, peut-être etait-ce la pleine lune qui lui faisait cet effet, elle était d'humeur a discuter. Si on peux dire ça, étant donner que comme l'indiquait son t-shirt: "I'm a doll" , elle était de porcelaine et n'avait pas de sentiment. Bien évidemment, elle n'avait pas réellement le corps en porcelaine, même si la texture et la teinte en donnait l impression.
Tsuki détacha ses cheveux, qu'elle laissa tomber en cascade sur ses épaules. Ils étaient soyeux et brillants et contrastaient par leur couleur corbeau. Elle se demandait comment ça se faisait qu'un jeune homme comme lui se balade dans une forêt si inquietante...

La jeune femme s'arreta alors de danser, ce qui était logique, le contraire aurait prouvé qu'elle était sourde, mais dés qu'elle cessa de bouger, c'était comme si la teinte de sa peau perdait de sa réfraction; elle ressemblait moins à une poupée maintenant.
Elle eut une drôle de mimique, penchant sa tête de côté pour répondre. Alinoé n'y fit pas attention. Il remarqua juste qu'elle ne semblait ni gênée d'avoir été interompu ni même vue, ni en colère après lui, elle lui parla comme si il venait de la déranger lors d'un goùter simple et banal. Il sut alors qu'il était plus de onze heures du soir et qu'il se trouvait à gauche du château. Il fallait donc prendre à droite pour le rejoindre. Pourtant, même avec ces informations, Alinoé se surpris à avancer toujours en direction de cette femme. Arrivé à sa hauteur, il comprit son geste en regardant par dessus les arbres, apercevant le manoir ainsi qu'une pleine lune qui se découpait juste au-dessus.

Cette danseuse s'assit alors dans l'herbe sans aucune raisons apparente, et détacha ses cheveux. Alinoé se surprit à nouveau à contempler cette lune sans se mettre en marche vers cet endroit convoité. Il baissa le visage vers elle et s'apretait à la remercier quand elle lui demanda s'il était bien un hôte.

-Oui, j'en suis un; un hôte perdu, mais un hôte honnète.^^ je m'appelle Alinoé et si vous voulez, vous pouvez venir me trouver à la maison des 1000 plaisirs, je vous accueillerais volontiers.

Il eut cependant un drôle de réflexe, celui de tendre la main vers cette jeune personne à qui il venait de se présenter, sans vraiment penser que ce n'était pas la manière la plus galante de se présenter; pas grave, il se rattraperait en baisant sa main...

Invité

Tsuki le regardait toujours, quand il lui repondit.

-Oui, j'en suis un; un hôte perdu, mais un hôte honnète.^^ je m'appelle Alinoé et si vous voulez, vous pouvez venir me trouver à la maison des 1000 plaisirs, je vous accueillerais volontiers.

Une personne normale aurait sourit et aurait répondu quelque chose d adequat, mais pas Tsuki. Elle, elle n'était pas de ce genre là. Il tendit une main vers elle. Ce geste la surpris un peu, mais sans plus. Elle n'était pas le genre de personne a etre surprise.

-Alinoé...d accord. Je m'appelle Tsuki. Je suis heureuse de faire votre connaisance.

La voix de Tsuki restait simple et monotone. Elle n'aura jamais un mot gentil ou meme mechant envers vous. Elle dit ça en prenant la main qu'Alinoé tendait vers elle. Il avait la peau douce. Une fois encore, c'était une simple remarque.

-Alinoé... d'accord. Je m'appelle Tsuki. Je suis heureuse de faire votre connaissance.

C'était assez bizarre comme impression; elle parlait sans intonations particulières, comme si elle était la poupée qui dansait tout à l'heure, bien que, assise, à l'abri de la lune et ayant arrêtée de danser, elle n'avait plus cette teinte de polichinelle des vieilles poupées.

Ainsi Tsuki attrapa la main que Alinoé lui tendait et, pour se rattraper de ce geste pas très romantique, il l'agrémenta d'un baiser. Il se courba pour y déposer ses lèvres et se redressa une fois fait. Toujours pas de réaction. Comment pouvait-il comprendre une femme et connaître ses envies dans ces conditions... ils faudrait qu'il s'adapte et s'entraine pour toutes ces futures femmes qu'il devrait satisfaire.

-Ah, je voulais aussi vous féliciter pour votre danse de tout à l'heure. j'aurrais voulu savoir aussi, à quelle occasion vous allez danser? j'aurais aussi aimé vous retourner la question: faîtes-vous partie des clientes du la maison que l'on voit là-bas?

Il aurait aprécié avec plaisir de contenter cette cliente si elle en eut fait partie.

Invité

Beacoup de question en un seul instant. Mais ça ne la derangeait pas, elle en avait l habitude et était comme un ordinateur qui repetait inlassablement les réponses prefaite.

- Je ne danse plus. J'etait strip teaseuse a Tokyo connue dans le monde entier. Oui, je fais partie du manoir mais par contre, je ne sais pas vraiment si j'ai envie d etre une cliente.

Elle regardait le jeune homme, avec qui ça ne lui aurait pas derranger de coucher, mais elle ne pouvait que le regarder, car elle ne savait dire la nature de ses sentiments.

-Desolée...je suis une fille tres monotone. On me l a deja dit mille fois, mais sa ne changera rien a ma vie. je tiens juste a etre polie...

Il est vrai que quand l'on parle de la maison aux 1000 plaisirs, l'idée qu'il nous viens à l'esprit est le plaisir sexuel... tout de suite! certes, la plupart des femmes qui venaient étaient là pour combler un manque de sport en chambre, mais il arrivait que ces dames ne veulent qu'un peu de compagnie. En parlant de boulot, c'était rappé pour ce soir; les clientes devaient être déçues. M'enfin... Alinoé s'installa aux côtés de Tsuki, un peu en retrait certes, mais ce n'était que pour mieux voir la lune.

Ainsi, elle était strip-teaseuse... voilà d'où venait la beauté de ses gestes...de ses mouvements... elle exprima de plus qu'elle n'était pas encline à être un cliente de la maison.

-Pas de souci, ce serait la première fois que je demanderais à quelqu'un d'être une cliente. Libre à vous.

cette fille était assez spéciale, elle semblait totalement dénuée de sentiments, comme si rien ne l'importait à part danser, puisqu'elle semblait plus vivante lors de son show que maintenant, assise en tailleur au sol.

-Ah... On te trouve monotone...Pas faux... A la limite, pas assez expressive, mais je ne pense pas monotone, surtout si tu sais danser comme ça. Mai pardon, qui suis-je pour te juger...

[J'adore mon post, j'ai rarement fait pire! XD]

Invité

Tsuki le regardait parler. Elle le trouvait chou a parler parler parler et parler. Elle esquissa un sourire, ce qui n arrivait jamais et s'approcha de lui, avant de lui effleurer la main:

- Si tu aimes tant ma façon de danser...

Elle se leva et remit sa musique. Elle entrprit alors de faire un strip tease a ce jeune Alinoé. Elle se mouvait sensuellement, sans etre vulgaire. Tsuki avait toujours su attiser le desir de ces messieurs et meme parfois femme, sans avoir besoin d etre vulgaire pour autent.
Elle se mit a danser en ondulant son corps et gentiment, s effeuillait, tout en caressant sa peau de ses longs doigts fins.
Quand Tsuki dansait, elle redevenait la poupée de porcelaine qu elle avait toujours été.

La réaction de Tsuki fut immédiate, elle sourit, surement pour prouver qu'elle n'était pas que "monotone", aussi se leva-telle pour s'approcher de lui, lui dire une phrase et se relever.

-Si tu aimes tant ma façon de danser...

Et elle mit en marche la musique pour se remettre à danser dessus. Plus elle se prenait au jeu, plus sa peau retrouvait sa brillance de porcelaine, son éclat de polichinelle; car c'était plus un éclat sur cette peau parfaite qu'elle rendait visible de plus en plus qu'une teinte qui la ternissait.
Plus le show avançait, plus Alinoé comprenait pourquoi elle était reconnue dans le monde entier, d'après ses propres dires. Elle semblait totalement différente, hors de cette clairière, comme si elle se trouvait vraiment dans une salle amménagée pour. Il restait même sur son visage les bribes de son sourire.
Alinoé n'avait jamais assisté à ce genre de show, aussi fut-il surpris de découvrir que ce n'était pas si pornographique que ça, c'était juste une danse quelconque avec ses propres caractéristiques qui visaient à attiser le désir et l'envie. D'ailleurs, il n'y avait aucune raison que ça ne fonctionne pas avec Alinoé. Il était véritablement scotché par ces ondulations, ces caresses sensuelles, ces mouvements calés sur le rythme de la musique; Il découvrait la Doll qui avait fait le tour du monde...
Il savait que son pouls accélérait au fur et à mesure que le strip tease gagnait en ampleur, en sensualité et en chaleur, il le savait comme il savait qu'il ne pouvait se résigner à faire quoi que ce soit pour le moment, ni geste ni son. Il restait là, assis sur le sol à observer cette danseuse s'effeuiller devant lui, pour lui, observant un silence respectueux de son travail. Il devrait la remercier d'une manière ou d'une autre; après tout, c'était son métier d'accéder à toutes demandes comme celui de Tsuki que de danser pour des clients...

Invité

Tsuki évoluait dans son strip tease, et gentiment, commença à retirer son haut, tout en continuant de onduler et de caresser son corps avec des gestes precis et graciles.

Elle se rapprocha gentiment, comme le ferait un felin , de Alinoé et lui prit la main.

-Viens danser avec moi...

La voix de Tsuki avait totalement changé. Elle était devenue sensuelle, féline, joueuse. C'était son etat quand elle etait excitée. Elle devenait une toute autre personne. Elle tendait la main vers Alinoé, lui faisant toujours signe de s approcher.

Visiblement, Tsuki changeait en dansant. Elle évoluait comme coupée de la situation précédente où elle était assise à regarder la lune. Mais la situation initiale avait été inversée, elle ne s'occupait plus de cette lune, parfaitement ronde et dominant le monde de nuit, mais la lune elle ne pouvait que la regarder danser et il était clair qu'elle était jalouse de tant de grâce et de volupté car elle se cacha derrière un nuage passager. Même avec la lune masquée, Tsuki gardait ce tain de porcelaine qui faisait sa caractéristique principale et beaucoup de son charme.
ce fut à l'occasion de la disparition de la lune qu'elle enleva le haut, découvrant un peu plus de peau, laissant de côté cette tache de peinture sur un corps qui fut longtemps qualifié de superbe et qui n'avait en rien perdu de sa perfection. C'est alors qu'elle s'approcha de Alinoé pour lui prendre la main, l'invitant à danser avec elle, d'une voix sensuelle et plutôt amusée. Il attrapa sa main en souriant, la baisa une seconde fois avant de se lever.

-C'est bien ma veine, je ne sais pas danser, et lorsque que je me ridiculise, c'est face à une déesse; je vais ternir le tableau et ton tain de polichinelle...

Pourtant, il se leva et rejoignit cette douce étoile qui faisait de l'ombre à la lune même. Comme il pouvait, il essaya de suivre Tsuki dans sa danse, ruinant effectivement toute la beauté de la danse mais sans chager la beauté de la danseuse. Il copiait plus ou moins bien les mouvements de cette nouvelle personne, inovant de temps en temps, sans jamais se dépatir d'un sourir moqueur, il se moquait de lui-même et de ses manières de mauvais danseur... Heureusement, c'était elle qui menait, il n'avait qu'à singer ses mouvements ou en tout cas, tenter de les imiter.
Dasn la situation actuelle, Alinoé ne pouvait que détailler cette poupée dansante, ce corps qui ondulait sous les étoiles, ses doigts qui couraient de part et d'autres de ce même corps...
La lune refit son apparition, surement pour profiter du spectacle, faisait rayonner de plus belle la Doll des grands soirs.

Invité

Tsuki ri. Elle etait troublée, car jamais personne ne l avait fait rire.
Quand il vint vers elle et qu il se mit a danser avec elle, Tsuki se colla a lui et se mit a se frotter, sensuellement, a Alinoé. Elle ne degageait rien de sexuelle, mais bel et bien quelque chose d ireel.
Elle regarda Alinoé dâns les yeux et lui souffla:

-Tu sais ce que signifie Tsuki ?

Elle lui demandait ça tout en dansant. Elle se mit a caresser le corps d'Alinoé, enfilant une de ses mains sous son t-shirt afin de caresser sa peau qui etait douce et chaude. Elle embrassa gentiment Alinoé dans le cou. gentiment, comme un papillon se pose sur une fleur. Comme si elle avait peur qu il ne disparaisse.
Tsuki ne voyait pas en lui l hôte qu il etait, mais comme l amant d une nuit. Elle ne faisait pas partie de ses femmes ayant recours aux hommes payées pour procurer du plaisir. Tsuki ne voulait pas tomber si bas. Si elle voulait du plaisir, ce qui etait rare, elle se debrouillait. Tsuki aimait se sentir unique dans les bras d un homme. Elle n aimait pas etre la simple cliente parmi tant d autre. Et quand elle faisait l amour avec un homme, elle faisait en sorte qu il ne l oublie pas de si tot...

Elle vînt lui demander, dans un souffle qu'il crut avoir inventé, s'il connaissait la signification de son nom. Bien sur il l'ignorait et, pour toute réponse:

-Non, je l'ignore... je t'aurais avec plaisir donné la signification du mien, une belle définition à mon sens... sauf que je ne la connais pas. Alors dis-moi, que veut dire ton prenom?

Alinoé ne savait quoi faire. Pour l'instant, il se contentait de danser
à ses côtés, certes très proche d'elle, imitant certaines de ses
caresses au niveau des hanches, mais il ne savais pas bien s'il devait
l'empêcher de danser en entrant dans son jeu c'est-à-dire la caresser
comme elle le faisait, avec cette douceur et cette sensualité qu'il
était sur de ne jamais trouver dans un strip-tease -pour lui, c'était
comme un préliminaire pervers, tout le contraire de ce qu'il vivait en
ce moment, une sorte de relation charnelle et très apréciable...- enfin,
il ne s'attendait pas à ça, quoi. Il se disait également que ne rien
faire équivalait à prendre tout ça de haut, à prendre cette Tsuki comme
un jouet, chose qu'il refusait, bien que cette teinte de porcelaine y
faisait penser. Aussi opta-t-il pour de simples carresses, comme dans
un slow (un peu mouvementé le slow ^^) qu'il distribuait aux hanches,
au dos, aux épaules, sans franchir de limite; après tout, c'était elle
qui menait.
Alinoé n'ayant jamais observé un strip-tease sa demanda si le fait de le faire monter sur les devants de la scène, sous les profecteurs de la lune, sous le regard des étoiles était chose banale où si, en général, elle restait seule du début à la fin et si, dans ce cas, elle ne faisait pas une entorse à la règle.
Souriant à ses propres divagations, il se rapprocha un peu plus de Tsuki dont il attendait toujours la signification.

Invité

-Non, je l'ignore... je t'aurais avec plaisir donné la signification du mien, une belle définition à mon sens... sauf que je ne la connais pas. Alors dis-moi, que veut dire ton prenom?

Tsuki ne repondit pas tout de suite et se colla encore un peu plus a Alinoé, puis, rapprochant son visage au teint de porcelaine de celui de Alinoé, elle s approcha, comme si elle allait l embrasser, et , lui frôlant la joue, elle mit ses levres pres de son oreille et chuchota

-Tsuki, sa veux dire Lune en japonais. C'est pour ça que je me sens proche de cet astre si beau et surtout si mysterieux.

Elle le regarda dans les yeux et lui prenant le visage, lui offrit le baiser le plus doux qu elle pouvait, Tsuki voyait Alinoé comme quelqu un de fragile. Comme s il avait quelque souci en lui. Elle ne voulait pas qu il disparaisse dans la nuit, c est pourquoi elle le traitait comme s il etait d une fragilité exagérée. Elle ne put s empecher de caresser son visage tout en l embrassant. Sa eau était si douce. Tsuki se sentait tellement bien a danser avec cet inconnu d un soir. Elle etait devenue la petite femme qui changeait quand elle etait en presence d un homme.

Tsuki continuait de se rapprocher de Alinoé, inexorablement, faisant ralentir le rythme de la danse, danse de toute manière saccadée à cause de l'entrée de Alinoé dans cette ronde sensuelle. Les deux corps semblaient s'attirer l'un vers l'autre, les corps se touchaient et les visages n'étaient qu'à quelques petits centimètres de distance. Tout aussi inexorablement, on sentait que les lèvres des deux personnes allaient se rencontrer, maintenant ou un peu plus tard. Le visage de Tsuki dépassa celui de Alinoé pour aller vers son oreille et lui murmurer d'une voix toujours soufflée:

-Tsuki, ça veut dire Lune en japonais. C'est pour ça que je me sens proche de cet astre si beau et surtout si mystérieux.
-Et pourtant tu n'as rien à lui envier, c'est plutôt elle qui porte ton nom, si je puis dire... Je pense aussi qu'elle devrait être jalouse de toi et de ta beauté qui n'es pas égalée par cet astre que l'on dit parfait... je préfère te regarder que de la regarder.

Et suite à cette phrase, Tsuki, regardant profondemment dans les yeux de Alinoé et lui tenant le visage, l'embrassa d'une manière vraiment touchante, agréable certes, mais aussi troublante: d'après son jeu précédent de danseuse, un baiser qui était si passionné semblait quelque peu contradictoire. Cette surprise/méprise de Alinoé n'en fit que mieux ressortir ce baiser et ses bienfaits. Il caressa de ses lèvres celles de Tsuki, rendant du mieux qu'il le pouvait cette merveilleuse union. Les mains de Alinoé vinrent se placer d'elles mêmes à l'arrière de la tête de Tsuki et entre ses épaules, par un reflexe qui devait avoir pour effet de ne pas rompre ce moment.
Alinoé voyait où tout ça risquait d'arriver. Certes, il s'y attendait depuis le début, mais cette fois c'était flagrant. Mais, jusqu'à maintenant, il se trouvait un peu perdu dans cette danse osée, mais, dés lors, ils rentraient déjà sur les plates-bandes de son territoire... Il saurait comment continuer et, d'après ce qu'il avait vu, la Doll qui était face à lui saurait aussi bien se débrouiller.

Invité

-Et pourtant tu n'as rien à lui envier, c'est plutôt elle qui porte ton nom, si je puis dire... Je pense aussi qu'elle devrait être jalouse de toi et de ta beauté qui n'es pas égalée par cet astre que l'on dit parfait... je préfère te regarder que de la regarder.

Tsuki le regarda et reprit sa danse. Alors qu elle l embrassait, elle se mit a luicaresser le torse et glissa ses levres dans le creu de son cou. Alinoé sentait si bon...Une odeur qui transportait totalement Tsuki. Elle prit les mains de Alinoé et les fit glisser le long de ses hanches avant de les placées sur ses fesses qui étaient bien rebondie, mais pas trop. Elle plaça ensuite une de ses jambes galbées sur l epaule de Alinoé, elle etait souple, et approcha un peu encore un peu son visage du sien. Tsuki voulait que se moment dure longtemps, car elle voulait que Alinoée profite de ce moment de repit. ça ne dois pas etre tres facile d etre un hote, de se dire que nous ne sommes qu un objet face a ces clients et clientes depravées, incapable de remercier leur hôte, comme si ce n etait qu un du.

-Pourquoi te laisse tu faire ainsi Alinoé...Tu es si beau...tu as l air tellement triste...Ne reste pas objet...tu es comme un petit oiseau qui attend qu on lui ouvre la cage...

Elle caressait les cheveux doux comme la soie de Alinoé, tout en lui soufflant ces mots. Elle savait de quoi elle parlait. C est pour cela qu elle etait devenue celebre. Car ainsi elle pouvait avoir ses caprices et n avait pas envie d etre une esclave...pas comme ça.

-Je ne te comprend pas...

Tsuki avait les yeux tristes a present. C etait quelque chose qui ne lui arrivait jamais, mais quand elle etait dans cet etat, quand elle quittait son corps de poupée le temps d une danse, elle ressentait des choses. Et de voir ce jeune homme visiblement perdu la rendait melancolique.

Chaque caresses de Tsuki accélérait le pouls de Alinoé; il se connaissait assez pour savoir qu'il n'avait jamais battu de cette manière. Lorsqu'il est avec une cliente dans une situation similaire, son coeur accélère car il sait qu'il est en train de contenter une personne, mais cette fois, la situation était inversée, ou presque, et ça, il n'en avait pas l'habitude. Pendant qu'elle glissait de ses lèvres dans son cou, il le tendit pour en profiter le plus possible et lui donner une plus grande parcelle à embrasser et ses mains allèrent d'elles même vers la nuque et le bas du dos de Tsuki.
Cette sensation sous les étoiles était sans précédent pour Alinoé et il s'en souviendrait, il en était sur.
Les douces mains de Tsuki ainsi que ses longs doigts fins trainèrent les mains de l'hôte hors service vers ses fesses, le poussant à les caresser et à remonter le long de son dos, suivant la ligne vertébrale. Tsuki, quant à elle, déposa sa jambe sur l'épaule d'Alinoé, lequel devait presque la porter dans cette position, ne s'embarrassant pas de la proximité. Alinoé joua aussi de cette distance rapprochée et approcha son visage de celui de Tsuki, comme elle le faisait, gardant cette position sans vouloir l'embrasser, juste pour ressentir un contact imaginaire et garder cette sensation d'irréalité. A cette distance, le souffle de Tsuki vînt irradier le visage de Alinoé d'une douce brise un jour de printemps radieux; mais la tristesse qui pointait dans sa voix fit se reculer Alinoé, du moins le visage puisqu'il était accroché à elle par sa jambe. Il la détailla un moment puis elle continua à parler, et cette simple phrase, qui aurait du le faire réfléchir le fit sourire, dévoilant une dentition reluisante à la lumière de la lune et de Tsuki. Il savait très bien de quoi elle parlait lorsqu'elle prononçait "objet", et, en un instant, comprit qu'elle avait vécu cette situation et qu'elle était étonnée de voir une autre personne dans cette même prison et qui, de plus, ne cherchait pas à s'en défaire.

- Si je reste en tant qu'hôte c'est parce que rien ne me fait plus plaisir que de faire plaisir, et ce métier à justement pour but de contenter des personnes de toutes les façons possibles. je ne me sens pas en cage du tout, ou alors, on ne parle pas de la même.

Sans crier gare, Alinoé embrassa Tsuki, de la manière la plus tendre qu'il le pouvait, qu'il pouvait partager avec elle, toujours avec cette impression de n'être pas à la hauteur de ses baisers à elle, mais sans le montrer. Il maintînt le baiser pendant une bonne minute, remontant toujours sa main dans son dos avant de le rompre.

-Mais j'ai bien retenu le "tu es si beau..." et je te retourne le compliment, même si le mot n'est pas assez fort.

Et il retourna chercher ses lèvres, mêlant cette fois sa langue timidement dans l'espoir de chasser cette tristesse qui se lisait dans le regard de cette Doll et qui s'entendait dans sa voix. sa main droite alla, sans qu'il en donne l'ordre se blottir au creux de la gorge de Tsuki, caressant le décolleté de cette dernière avec douceur, la main gauche toujours calée dans le dos de Tsuki.

-Tu peux me demander ce que tu veux...

Invité

-Tu peux me demander ce que tu veux...

A cette phrase, Tsuki retira sa jambe de Alinoé pour le regarder mieux encore. Elle arreta sa danse, au risque de briser le charme qui operait, et baissa la tête. Non. Elle ne voulait rien de plus de Alinoé. C'est son plaisir qu elle voulait. Tsuki voulait que Alinoé se livre a elle et alors elle l'emmenerait sur les chemins escarpés du plaisir. Son but n'etait pas de lui procurer du plaisir pour pouvoir dire qu elle n etait pas rouiller ou tout simplement bonne a baiser. Non, elle voulait que Alinoé se repose un peu sur elle. Car apres tout, quoi qu il dise ou fasse, elle ne pouvait croire qu etre au service de quelqu un, cedant a tous ses caprices, n etait pas etre en cage. Mais elle ne dit rien.

-Je n'attend rien de toi...Je ne veux pas que tu joues l hote avec moi...je n en ai pas besoin.

Sur ce, elle prit Alinoé contre elle et l'embrassa avec passion, faisant courir ses doigts fins sur le corps musclés mais pas trop de Alinoé. Il etait si doux qu elle ne s en lassait pas, et passer une nuit avec lui ne la derangeait en rien. Elle esperait juste qu il ne partirais pas subitement pour une cliente. Non...cette nuit, Tsuki avait decider de faire de Alinoé un roi, celui qu elle avait envie de servir et d assouvir tout ses desirs.

-Je suis là pour toi maintenant. Ne me prend pas pour une de ces clientes assoifées.

Tsuki poussa gentiment Alinoé contre un arbre et l embrassa dans le cou, encore et encore avant d y deposer une petite marque sous forme de suçon.

-Je te le jure...dés aujourd hui, je serai la quoi qu il arrive...laisse toi faire...

Elle joua avec son piercing sur les levres de Alinoé et les mordilla aussi. Elle insinua sa langue dans la bouche de son conjoint et avec douceur, gouta gentiment Alinoé, savourant chaque secondes de ce baiser.

La jambe qui était posée sur l'épaule de Alinoé se souleva pour descendre vers le sol, dégageant Alinoé d'un poids qu'il ne voulait pas perdre. A la place, il eut droit à une mimique très significative de l'impact de ses paroles. Comme il était sûr de l'avoir vexée par ses mots, il chercha à savoir à quel moment il avait fait une bourde et, le temps de construire un phrase sans l'attrister de nouveau, elle avait répondue:

-Je n'attends rien de toi... Je ne veux pas que tu joues l'hôte avec moi... je n'en ai pas besoin.

Sur cette réplique coupant net les réflexions d'Alinoé, Tsuki l'embrassa, le serrant tout contre elle et l'hôte crut sentir leurs coeurs battre, comme un roulement de tambour qui annonçait la montée au paradis. Collés l'un contre l'autre, Alinoé ne pouvait que lui rendre son baiser avec fougue. Leurs doigts respectifs parcouraient le corps de l'autre, balayant les quelques bribes d'hésitations qui auraient encore pu dérouter l'un et l'autre.
Tsuki parla à nouveau, des phrases dont il ne comprit pas le sens avant de l'attirer vers un arbre qui se trouvait dans son dos, le poussant jusqu'à ce que toute retraite lui soit coupée. Même s'il en avait eu la possibilité, il n'aurait pas pu quitter cette poupée qui n'avait rien perdu de sa danse.
Le baiser descendit dans le cou de Alinoé y laissant un suçon.

-Je te le jure... dés maintenant, je serais là quoi qu'il arrive... laisse-toi faire...

Puis, remontant vers ses lèvres, Tsuki l'embrassa langoureusement. Alinoé ne pouvait que se délecter de cette langue qui cherchait la sienne, et ce fut avec plaisir qu'il lui offrit la possibilité d'une étreinte. Alinoé goûtait à un met rare auquel il avait rarement le droit, un vrai baiser poussé par la passion et non pas par obligation. Peut-être voulait-elle parler de cette sensation là de laquelle il était prisonnier. Alinoé ouvrit ses yeux préalablement fermés pour profiter du moment et dû stopper le baiser pour parler.

-Et toi, n'as-tu pas jamais donné plus que reçu? Nous étions dans le même domaine; est-tu sure de ne pas vouloir recevoir toi aussi?

Et sans attendre de réponse ni d'autres signes, Alinoé finit d'enlever le haut de Tsuki qu'elle avait déjà oté à moitié lors de son show. Le laissant tomber à son côté, Alinoé embrassa la gorge de Tsuki, Faisant descendre sa langue tout en longueur et en langueur. Les mains passaient dans le dos de Tsuki, se croisant sans logique établie, les doigts sensibles de Alinoé parcourant tout ce qu'il pouvaient atteindre, comprenant les fesses et les cuisses protégées par son short. Il alternait les baisers et les coups de langues sur ce buste qu'il avait envie de parcourir, de découvrir, d'explorer, dut-il y passer la nuit. Il ne s'en lasserait pas, il le savait.

Invité

-Et toi, n'as-tu pas jamais donné plus que reçu? Nous étions dans le même domaine; est-tu sure de ne pas vouloir recevoir toi aussi?

Tsuki n eut pas le temps de lui dire que non, elle n avait jamais donner plus qu elle n avait reçu, car entant que Doll, elle avait tout les droits. Bien entendu, elle avait fait partie des privilégiées et que c est grace a sa notoriétée qu elle avait pu ainsi choisir ce qu elle voulait faire et surtout avec qui.
Quand il lui ota son haut, elle ne dit rien, se laissant faire, profitant, savourant chacun des baisers tellement doux et emplis de passion de Alinoé. Tsuki se dit qu elle avait de la chance, car elle devait faire partie de ses femmes que l on oublie pas. C est sa qui lui faisait peur. Qu on l oublie, qu on la mette au rang de jeune Doll depassée, que tout le monde prend pour une prostituée.

-Je ne donne pas...j'offre...je ne reçoit jamais...je prend

Tsuki decida de prendre son temps avec Alinoé. Elle voulait que chaque instant de cette nuit de pleine lune, soit gravée a jamais dans sa memoire. Elle ne voulait pas que l on pense qu elle etait une allumeuse, qu elle couchait et s en alllait apres avoir eu ce qu elle voulait. NON elle ne faisait pas partie de cette categorie de personne. Pour elle, chaque fois qu elle offrait son corps a quelqu un, c etait dans l optique de rendre heureux de mettre un peu de bonheur dans les yeux ternes de la plupart des gens.

-Je veux simplement que tu te reposes sur moi...pour cette nuit au moins...

Elle reprit ses baisers et glissa deux doigts dans le pantalon de Alnoé et perçu alors comme un frisson de son partenaire.

Tsuki n'avait pas à s'en faire, Alinoé ne risquait pas d'oublier cette expérience. Pour lui, c'était sa première fois hors de son métier d'hôte, bien que les ambitions qui avaient fait de lui cet hôte ne le quittaient pas. Son optique était toujours de faire plaisir à tous ceux qu'il pouvait aider; et elle lui demandait de se laisser aller. Il ne savait pas vraiment si c'était possible pour lui de se laisser faire; il ne se sentait pas capable de se reposer sur quelqu'un pour quelle raison que ce soit.
Si jamais il était vraiment dans le besoin et qu'il devait faire confiance à quelqu'un pour l'aider -et il reconnaitrait cet instant- il faudrait qu'il soit prêt à accepter cette aide. S'il restait toujours seul, toujours le seul à rendre service, toujours le seul à donner sans recevoir, peut-être ne pourrait-il tout simplement pas attraper la main qui se tendra vers lui. Il fallait qu'il franchisse le pas, qu'il le fasse une fois au moins. Il n'était pas seul ce soir, il se sentait entouré de nombreuses personnes. Ces personnes, seule Tsuki avait réussie à la faire apparaître à l'esprit de Alinoé, même inconsciemment. Il se reposerait sur elle ce soir... mais que se passerait-il les jours suivants?

-Je ne suis pas sur de pouvoir le faire...mais je ferais de mon mieux.

Les regards se croisèrent. Alinoé se sentait...vivant... Il se plaisait à regarder ce superbe corps et se nourrissait de ses propres battement de coeur, de ses propres pensées mais c'était du regard de Tsuki dont il se rassasiait.
Leurs lèvres se croisèrent elles aussi, se caressant mutuellement, leurs langues se mêlant à une danse qui reprenaient pour base les mouvements sensuels de Tsuki. Fermant les yeux à nouveau pour capter tous les mouvements de ce muscle présent dans sa bouche autant que dans celle de Tsuki, pour gouter réellement à ce morceau de chair qui lui faisait tellement envie et qu'il avait le droit de déguster... Il mordit la lèvre inférieure de Tsuki, sans force, juste pour calmer son excitation. Ses mains parcouraient le crâne ainsi que le visage de Tsuki, descendant souvent vers sa gorge avant de remonter plus rapidement.
Tandis qu'il fermait toujours les yeux, il sentit un contact plus bas qui le surpris, le faisant frissonner et interrompre le baiser pour lâcher un soupir totalement imprévu. Il ouvrit les yeux et fixa ceux de Tsuki d'un regard langoureux. Les choses sérieuses allaient commencer. C'était elle qui avait commencé; il ne faisait que suivre son jeu, aussi fit-il descendre ses baisers dans son cou, sur sa gorge, ses mains suivant le même trajet mais descendant plus bas vars la poitrine attirante de Tsuki, poitrine toujours protégée par un soutien gorge qu'il ne voulait pas enlever tout de suite; le temps viendrait; il se contenterait pour le moment de caresser ces fruits, les tâter et les malaxer légèrement, le tout avec douceur et tendresse. Il ne pouvait tout de même pas abandonner ses obligations et délaisser le plaisir de la Doll au seul sien.

Invité

Je ne suis pas sur de pouvoir le faire...mais je ferais de mon mieux.

Tsuki le fit taire en plaçant delicatement son doigt sur ses lèvres.

-Chuuut tais-toi et regale toi....je m occupe de tout.

Tsuki le regardait dnas les yeux, et souriait. Elle etait heureuse de ^pouvoir offrir un moment de plaisir a ce garçon qui avait l air si perdu. Pas dans le sens ou il n avais pas de style ou etait tout simplement debile, mais dans le sens ou il avait cet air si triste que Tsuki trouvait desolant...Malgré le fait qu elle etait indifferente a tout, il y avait quand meme des choses qu elle ne supportait pas et encore moins quand cela touchait un homme. Et oui, Tsuki aimais les hommes.
Quand il se mit a caresser sa poitrine, Tsuki fut agreablement surprise. Elle aimait le contact de mes mains legerement refroidie par l air frais de la nuit sur ses seins qui etaient tout chaud. En realité, tout son corps etait bouillant, comme si elle avait la fievre.
Neanmoins, comme elle avait dit qu elle s occuperait de tout, elle prit les mains de Alinoé qu elle plaqua contre l arbre contre lequel ils etaient appuyés, et avec douceur, de l autre main, elle se mit a deboutonner la chemise de son amant , et une fois ouverte, elle embrassa gentiment, passant sa langue avec passion, tout comme on deguste un met delicat, le torse et le ventre musclé de Alinoé.
Entre deux baisers, elle glissa:

-Tu vois...maintenant il faut que tu laisses mon desir t emmener sur les chemins escarpés du plaisir...

Tsuki remonta le long de son ventre, son torse, son cou, pour enfin reprendre ses baisers sur les levres douce d Alinoé. Elle ne voulait negliger aucune partie du corps de son amant et était bien décidée a gouter tout son corps, de decouvrir les points faibles de Alinoé afin de lui faire oublier ses clients et de le satisfaire, a un point tel qu il ne pourrais plus se passer de ses baisers.

La Plaisir. Ce mot avait une douce sonorité qui faisait frissonner toutes les personnes qui l'approchaient. Alinoé lui trouvait une saveur qu'il se surpris à apprécier et qu'il se fit une joie de déguster.
Recevoir; c'était l'une des caractéristiques des enfants. Lorsque l'on leur donne quelque chose, ils le chérissent, jouent avec et le gardent tout contre eux; il n'oubliaient jamais de remercier l'adulte qui leur avait donné. Dans le cas d'Alinoé, lui était l'enfant qui recevait un présent digne des grands rois et c'était Tsuki la personne attentionnée qui livrait à cet enfant un cadeau si magnifique. Alinoé n'oublierait pas de chaleureusement la remercier.

Tsuki était vraiment, comme la braise, incandescente; sa peau nue exprimait à haute voix le plaisir du contact avec les mains d'Alinoé; à l'opposée de la lune qui elle était froide et sans émotions, elle donnait dans la chaleur de l'astre qui réchauffait la Terre et lui avait donné la vie. Pourtant, elle s'empara des mains d'Alinoé pour les lui clouer à l'arbre, s'occupant alors de la chemise de l'amant tout aussi brulant qu'elle -mis à part ses doigts qui restaient presque froids par n'importe quel temps. Alinoé appréciait cette posture, la trouvant même agréable, mais ce n'était pas comme ça qu'il pourrait la remercier, privé des deux membres indispensables lors cette activité tant désirée par tous. Ne pouvant user de ses bras ni de ses mains, Alinoé frotta sa jambe tout contre la cuisse de Tsuki pendant qu'elle-même s'occupait d'embrasser le torse presque imberbe d'Alinoé. Ca dura le temps nécessaire pour que le souffle d'Alinoé s'accélère.

-Le plaisir, comme tu dis... s'ouvre plutôt à moi comme une bâtisse imposante. Et c'est avec toi que je vais en franchir les portes d'airain et y poser les pieds, quitte à y sauter pieds joints... Mais dans ce cas, je veux que tu viennes avec moi dans ce temple. Il devrait être assez grand pour deux et trop spacieux pour une seule personne. Je pourrais avoir peur de cette solitude, qui sait?

Alinoé n'abandonnait pas cette idée de contenter Tsuki. Il voulait le faire. Quel que soit le lieu, l'heure ou le temps, il voulait qu'elle aussi prenne du plaisir grâce à lui.

Tsuki revenait sans cesse vers les lèvres d'Alinoé et, n'ayant que ce muscle de libre, il en profitait à chaque fois pour insinuer avec impatience sa langue dans la bouche de la Doll pour tourner avec sa langue dans un langoureux ballet qui n'était accessible qu'à eux deux. La pression de sa jambe sur celle de Tsuki se faisait plus insistante, croissant avec l'intensité de leurs baiser passionnés.

Invité

-Le plaisir, comme tu dis... s'ouvre plutôt à moi comme une bâtisse imposante. Et c'est avec toi que je vais en franchir les portes d'airain et y poser les pieds, quitte à y sauter pieds joints... Mais dans ce cas, je veux que tu viennes avec moi dans ce temple. Il devrait être assez grand pour deux et trop spacieux pour une seule personne. Je pourrais avoir peur de cette solitude, qui sait?

Tsuki souriait, car Alinoé ne parlait pas comme tout le monde. Il formait de belles phrases, qui collait parfaitement avec son personnage. Elle s arreta un moment, et lui sourit avant de gentiment lacher ses mains et se mit a le caresser avec avidité et envie, aux zones dites erogènes qu elle connaissait par coeur. Il est faux d affirmer qu un homme n etait sensible que de la verge. Le corps de l homme est tout autent sensible que celui de la femme, encore faut il savoir ou et comment toucher.

-Alors viens avec moi dans cet endroit exquis. Ne t inquiete pas...tu ne seras plus jamais seul...

Elle tendit sa main vers Alinoé et l attira contre elle, au milieu de la plaine, eclairé seul par la Lune, qui se cachait de temps en temps derriere quelques nuages espiegle qui jouait avec le vent, celui la meme qui faisait frissoner Tsuki. Ele etait bien la, au milieu de la nuit, entouré par le mystere nocturne etdans les bras de ce nouvel amant, si doux et si apaisant. Il allait etre une des rares personne a rencontrer la vraie Tsuki, celle que pleins de gens ne connaissent pas. Ils sont indignes de tant de grace de sa part. Mais Alnoé le meritait au centuple, et elle allait le lui montrer.

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